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 [BG] Journal de Wellrythorn

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Wellrythorn
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Localisation : Stormwind
Date d'inscription : 27/06/2005

[BG] Journal de Wellrythorn Empty
MessageSujet: [BG] Journal de Wellrythorn   [BG] Journal de Wellrythorn EmptyLun 11 Juil à 22:03

Histoire de Wellrythorn

Dans la 7ième décade du Tigre il y a 24 ans, Dame Gwenden et Sir Wellros eurent la joie de voir leur 2nd fils naître dans l’hopital de Stormwind qu’il appelèrent Wellrythorn.
L’aîné, Welldarrynn, âgé de 3 ans a l’époque, était resté chez sa tante du vieux quartier.

Un frère leur vînt deux ans plus tard, nommé Wellrya.
Chaque garçon étaient différents. Un roux, un brun et un blond.
Pendant trois en ils vécurent dans le quartier commerçant de la ville.

Journal de Wellrythorn :

Wellros, notre père, était garde de la cité et notre mère couturière a la maison pour nous garder durant notre enfance.
Nous menions une vie paisible dans notre quartier…
Des amis venaient souvent le soir passer un moment autour d’un bon mouton grillé et d’une bonne pinte.
Durant notre enfance, nous allions souvent devant la salle des fêtes pour voir les nobles personnes qui y entrer pour voir les spéctacles qui s’y donnait.
Nous chassions aussi les rats noirs de la petite ruelle a côté avec nos amis.
Nous restions dans le quartier car nos parents nous avaient déconseillaient de nous éloigner de la maison car parfois des brigants trainaient dans les rues, surtout dans le vieux quartier.
Puis les choses changèrent…

Welldarrynn, partit étudier chez un ami de la famille les arts des enchantements dans la Tour d’Azora en fôtet d’Elwynn a sa 10ième année.
Wellrya et moi étions encore a la maison… attendant de partir nous aussi… mais où ?

Notre grand frère nous envoyait es lettres tous les trois jours, nous racontant ses nouveaux exploits en enchantement.

Nous partions le voir de temps en temps.

Puis notre mère retomba enceinte… et donna naissance a une petite rouquinne du nom de Glaeden.

Wellrya et moi étions content d’avoir une petite sœur pour pouvoir la défendre et jouer les petits héros du quartier en tuant des petites bêtes et en chassant les petits voyoux qui s’en prendrait a elle.

Elle grandissait a vue d’œil.
Nous l’amenions avec nous voir les gens entrer dans les soirée de la salle des fêtes. Elle aimait regarder les robes des demoiselles.

Je me souviens encore du jour où vînt une Dame Elfe. C’était très rare a l’époque. Elle était vêtue d’une grande robe bleu incrutée de diamants vert et de rubans bleu clair. Elle passa tout prêt de nous. Et voyant que je la fixé bêtement depuis son arrivé, me fît un clin d’œil accompagné d’un sourire.
Ce moment resta gravé dans ma mémoire durant de longues année, me rappelant toujours ce visage de déesse.

Puis dans ma onzième année, je fut accepté dans l’Ordre des apprentits Paladin de la ville. J’y appris avec mon Maître les techniques de combat d’un bon Paladin puis, chose indispensable, les courants de pensé spirituels de notre Ordre : La Sainte Lumière, aide et force, donnant courage et espoir a tout homme qui veut bien croire en elle.

Parlant de cette dernière a mon plus jeune frère, il concentit a venir rejoindre l’Eglise de Stormwind. Mais n’aimant pas les armes, il préfèra devenir prêtre de notre Ordre.

Avec nos jeunes nouveaux amis avec qui nous avions tissé de fort liens, nous fondèrent une groupe de défenceurs de notre Ordre. Les « chevaliers du Lion Sacré » virent leur jour lors d’une cérémonie secrete entre nous, le soir d’une grande fête au Parc.
Nous y sommes allés tous ensemble s’étant promis de s’amuser toute la soirée et de ne penser a rien d’autre, même pas aux charmantes demoiselles qu’il y aurait.
Mais bon… nous connaissant, nous savions déjà que ce pari serait impossible…

Chacun trouva une cavalière tout en restant discret pour ne pas se faire remarquer par les autres.
Je vis une charmante Dame Elfe assise sur un banc, seule, attendant qu’un cavalier lui demande de bien vouloir danser avec.
Sautant sur l’occasion, je remis ma timidité de coté, et d’un pas préssé, m’approchat du banc.
Elle accepta mon invitation avec un grand sourire et nous commencèrent a dancer.
Mais la regardant de plus prés, il me semblait l’avoir déjà vu quelque part… Mais rare étaient les elfes dans nos contrées…

Puis, elle me fit un clin d’œil et me sourit.
C’est a ce moment là que ca me revint !
Elle était l’elfe de mon enfance (enfin, cela ne faisait que six ans apres tout).
Puis voyant mon regard, elle compris que je l’avais reconnue.
« Enfin tu te souvient de moi ? » me dit-elle.
« Heu… et bien il me semble oui. Vous étiez venu à une soirée il y a quelques année non ? » lui répondis-je.
« En effet. C’était il y a six ans dans la décade de la chouette, un soirée avait été organisée pour les étrangers de la région. J’étais venu avec mon père, je n’avais que dix-huit ans a l’époque. Je me présente, Ithilien. »
« Mais vous paraissiez si grande ! Moi c’est Wellrythorn »
« Normal, les elfes atteignent une grande taille à la quatorzième année environs, puis termine de grandir jusqu’à l’âge adulte.»
« Fort bien… je vois… mais votre père, j’avais cru qu’il était votre amant ou mari a l’époque. »
« Non non, avec mes voyages, je n’ais jamais eu le temps de m’attacher a quelqu’un au point de l’aimer… » soupira t-elle la tête baissée.
« Et maintenant vous êtes installé dans la régions ? »
« Pas encore… mais possible… je cherche du travail.»
« Ma mère est couturière, elle vous trouvera du travail ! »
« Je ne sais point coudre… mes compétences se tournent plutôt vers les plantes. »
« Et vous ne voudriez pas essayer la couture ? Elle a un magasin tout prés du quatier commerçant ! »

Elle me regardant en riant.

« Ne seriez vous pas en train de vouloir me faire rester ici afin de m’avoir prés de vous ? »
« Héhé… ben… c’est que… hum…*tousse* Le travail ne cour pas les rues vous savez… » répondis-je gêné.
« Mouai… je me demande… m’enfin… pourquoi ne pas m’installer oui »

Puis la soirée continua très tard dans la nuit. Je la racompagna jusqu’à sa porte et nous nous dires adieu sur le pas de sa porte.

Les années passèrent et nous faisions des petites fêtes entre amis dans notre nouvelles maison avec mes amis. Ithilien, devint une amie très proche… très très proche. Ma sœur Glaeden devint aussi une prêresse comme Wellrya. Elle grandit puis vint nous rejoindre dans notre maison d’ami (composée de Wellrya, des Chevaliers du Lion Sacré, de quelques amies et de moi même).

Notre grand frère revînt nous voir pour un séjour. Il avait beaucoup changé. Il avait grandit et il avait laissé pousser un peu de barbe. Mais les nouvelles qu’il ammenait n’était pas des plus réjouissantes.

Des « ombres » avaient envahient le Nord, en Lordaeron. Des villages entiers avaient été rasé de la carte. Et une peste se répendait parmis les survivants, les relevant a leur mort en serviteurs des « ombres ».
Les autorités de la ville étaient au courant et prirent des mesures.

Les meilleurs guerriers de la contrée et de la ville devaient se présenter devant les portes de la capitale pour monter une armée de secours.
Les hommes de plus de 22 ans et de moins de 50 ans devaient partir pour Lordaeron.
Les autres devaient garder la ville.

Notre père et Welldarrynn partirent donc ensemble pour combattres ce… fléau.

Plusieurs mois s’écoulèrent sans nouvelles d’eux. Des rumeurs nous parvenaient disant que l’armée de Stormwind n’avait même pas atteint la cité de Lordaeron. Mais nous ne voulions pas y croire. Pour nous, ils reviendraient vainceurs.

En attendant, avec ma sœur, mon frère et nos amis, nous avions décidés de changer l’humeur des gens en animant un peu la ville. Nous donnions des soirées dans l’auberge du vieux quartier au début. Puis devenant appréciés des gens, nous partirent vers la salle des fêtes pour qu’il y ait plus de monde.
Ainsi passèrent de longues semaines d’attentes…

Puis un jour, ou plutôt un matin, un jour de ciel gris, un garde entra dans la ville criant : « Venez Ô peuple de Stormwind ! Venez voir les vainqueurs du Nord ! Et venez voir et glorifier vos morts ! »

Nous accoururent tous aux portes de la ville, croyant revoir notre père et notre frère. En arrivant, nous virent des chariots de cadavres devancaient des quelques survivants. Le plus haut gradé du cortège, un Lieutenant, afficha une liste avec les morts qu’ils avaient reconnus parmis les cadavres…

Notre mère courrue vers cette liste. Et cherchant dans l’ordre alphabétique, tomba sur… Wellgorn… Wellmonir… Wellpard… WELLROS !
Horreur !
Mère s’effondra sur ses genoux en larmes…
Elle devint veuve a partir de se moment là, réalisant toutes les conséquences… et surtout réalisant qu’elle ne revérait plus son époux, l’amour de sa vie, l’ancien beau et jeune homme qui l’avait charmée il y a bien longtemps…
Mais elle n’osait pas regarder sur l’autre partie de la liste pour voir si mon frère y figurait.
Un homme masqué de sa capuche approcha doucement et mis sa main sur l’épaule de notre mère.
Ne sachant qui ce fut, je sortit mon épée et Wellrya son bâton.

L’homme chuchotta quelques mots a mère : « N’ais crainte. Il repose en paix maintenant. Il ne souffrit pas, ce fut une belle mort, une mort au combat, une mort noble »

Nous reconnurent tous la voix de Welldarrynn.

Mère lui sauta au cou le serrant très fort, l’embrassant et lui disant qu’elle l’aimait.

Nous repartîmes à la maison de notre mère pour entamer notre deuil.
La nuit fût longue pour nous tous, personne n’arrivant a dormir.

Ma sœur vînt me retrouver dans ma chambre pour parle un peu.
Elle s’allongea a coté de moi, des larmes le long de ses joues.
Elle regrettais de ne pas avoir connu père assez longtemps et me demanda de lui raconter tous les moments que nous avions passé en sa compagnie dans notre enfance.

La journée du lac où père tomba des hautes herbes pour atterrir dans l’eau la fit rire quelques instants… mais les tremblots et les larmes reprirent…

Deux jours apres fut la journée de l’enterrement collectif. De nombreuses femmes vêtuent de noir avec un voile étaient au devant du cortègene funairère.
Un prêtre dit une bénétiction, le Lieutenant un petit discours en mémoire des morts, et quelques survivants leurs adieux a leur frères d’armes en les glorifiant de paroles sur leurs actes de bravoures.

Deux mois passèrent. Ithilien due repartir dans sa terre natale car les anciens de Teldrassil appelés tous les Elfes pour un rassemblement général afin de s’organiser face a cette menace du Nord.

Je suis a présent un Paladin fier de ma familles, de mes convictions et de mes actes.
Je suis gérant d’un groupe d’artistes et de détectives qui œuvres pour le bien de notre peuple de Stormwind.
Mes frères et ma sœur m’ont rejoinds.

Nous avançons a présent main dans la main, soudées face aux épreuves et joyeux de la joie que nous apportons aux autres grâce a nos spéctacles.

Welldarrynn a dû partir un moment en voyage pour terminer sa formation, Wellrya aide nos compatriotes en utilisant ses dons de soins et ma sœur Glaeden reste avec moi a Stromwind pour veiller sur notre mère.

Puisse la Lumière nous guider a chaque instant de notre vie afin de survivre et de tout faire pour préserver la paix et la joie malgrés les ténèbres de ce monde…

Puisse t-elle vous protéger, vous qui lisez mon journal…
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Wellrythorn
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MessageSujet: Re: [BG] Journal de Wellrythorn   [BG] Journal de Wellrythorn EmptyMar 12 Juil à 16:55

Voici le journal de ma soeur Glaeden :

Journal personnel de Glaeden


Présentation :

Née de deux parents habitants de Stormwind, Sir Wellros et Dame Gwenden, Glaeden grandit avec eux et ses frères dans le quartier commerçant.
Petite dernière, et seule fille de la famille, il lui fut accordé le plus grand soin. Ses deux plus jeunes frères, Wellrya et Wellrythorn, étaient très proche d’elle. L’aîné étant partit étudier loin du foyer.

Page UNE :

Je consacre cette page a mon enfance, celle où je pouvais encore écrire. Depuis ma naissance jusqu’à mes quatres ans, je ne me rappelle de pas grand chose, seul les histoires que ma famille me raconte. A mes cinq ans, j’ai commencé a écrire et a lire chez une Dame qui enseignait pour les enfants du quartier. Je me souvient encore du tableau qu’il y avait sur le mur, a l’entrée de la salle de classe ; un paysage montrant des demeures Elfes dans une foret dense avec une petite cascade sur le côté. C’était un endroit paradisiaque (a se qu’il semblais au moins). Depuis j’ai toujours eu envie d’aller voir les contrée Elfe.
Ah oui ! Au début du printemps de la même année, un camarade de classe que j’aimais bien me conduis jusqu’au Parc, pres de la fontaine.
Il sortit de sa poche un bouquet de fleurs…
Mais le problemes c’est qu’il les avait ceuillies deux jours avant et… elles avaient fânées…
Il s’en excusa. Le pauvre, il avait l’air si gêné… Je lui sourit et lui que c’était le geste qui compté.
Il resta quand même embêté toute la journée…
Mais pour le consoler je lui donna son premier baiser (et le miens pas la même occasion).

Un bon souvenir ma foi…

Page DEUX :

Puis les mois passèrent et je grandis, suivant mes frères tous les soirs, les accompagner dans leurs aventures de quartier.
Nous allions souvent voir les invités de la salle des fêtes.
J’adorais regarder les belles robes des Dames qui entraient et sortaient. Je me disais qu’un jour j’en aurais aussi une !

Mes frères, eux, ne regardaient pas que les robes… m’enfin bon… les hommes…

Puis a mes douzes ans (l’âge des filles pour quitter le foyer en général) j’ai entamé me études de prêtresse, suivant les pas de frère Wellrya lui aussi prêtre a Stormwind.

Quand je fût un peu plus matûre, mes frères m’acceptèrent dans leur Ordre secret, les « Chevaliers du Lion Sacré ».

Je partis habiter dans leur maison d’amis. Nous nous amusions bien. Nous faisions souvent des soirées entre amis.

Mais j’étais un peu garçon manqué a cette époque (normal, avec deux frères…). C’est pour ça que je connu pas les mêmes sentiments qu’éprouvait Wellrythorn pour Ithilien, sa « grande conquête ».

Page TROIS :

Mais j’ai bien changée depuis. J’ai déployé mes atouts !
J’ai maintenant seize ans et je suis dans la troupe de mes frères, l’Arod Club, et j’en suis très fière !

Même si je gade souvent ma mère qui est malade en ce moment…
Notre père qui est mort lors de la bataille de Lordaeron me manque beaucoup (a tous d’ailleur, mais je ne m’étendrais pas sur le sujet…).
Notre mère, veuve, a besoin de nous a présent.

Sur ces quelques lignes qui commencent mon journal, j’espère un jour devenir comme mes frères, sûre de moi et prête a tout pour ceux qui me sont cher.

Page QUATRE :

A venir…
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